Cette semaine, on vous propose de revenir sur 4 des clichés les plus répandus sur le secteur du transport et de la logistique. Et oui, comme tous les secteurs d’activités, le transport et la logistique ont leurs lots de préjugés. Et si on démêlait le vrai du faux ?
Préjugé 1# C’est un secteur d’hommes
C’est certainement le cliché le plus présent dans les esprits : le secteur du transport et de la logistique serait réservé aux hommes. Aux origines de ce préjugé, l’idée que les horaires seraient moins adaptés aux femmes. Le transport de marchandises serait par exemple moins adapté à la gente féminine, car il imposerait des déplacements de plusieurs jours. Pourtant, l’ensemble des professionnels du secteur peut aujourd’hui facilement concilier vie professionnelle et vie personnelle. En faisant le choix du régional par exemple, les salariés peuvent rentrer chaque jour à leur domicile et conserver une vie de famille équilibrée. Un point positif pour les salariées, mères de famille, qui peuvent ainsi s’épanouir dans leur vie professionnelle tout en assurant leur rôle familial.
L’idée que ces métiers nécessite de la force physique nourrit également ce premier préjugés. Chez AFA Formation on se bat contre ces clichés pour donner la chance à chacun et former tous les talents, qu’ils se conjuguent au masculin ou au féminin. Les moyens de levage et de manutention modernes permettent d’ailleurs à chacun de se projeter dans ces métiers passionnants.
La féminisation des métiers du transport et de la logistique ces dernières années confirment cette idée, et elle permet d’effacer petit à petit les idées reçues, tout en favorisant la mixité.
Préjugé 2#Le transport c’est fait pour les solitaires
Contre toute attente, les métiers du transports et de la logistiques permettent aux professionnels de maintenir des relations denses et enrichissantes. Pour les professionnels en quête de lien social et de sens, le métier de conducteur/rice de voyageurs sera par exemple totalement adéquat ! Posture de service, lien quotidien de proximité avec les voyageurs…. Les compétences relationnelles sont déployées et valorisées dans cet environnement ou l’humain tient une place centrale. Côté logistique et manutention, de nombreux métiers permettent de nourrir ces compétences en privilégiant le travail d’équipe : responsable logistique, magasinier…
Préjugé 3# Les métiers du transport et de la logistique sont redondants
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les métiers du transport et de la logistique n’ont pas que des savoirs-faire techniques à offrir. Ils permettent chaque année à des milliers de professionnels d’acquérir diverses compétences : anglais professionnel, formation dans des domaines d’avenir comme les nouvelles technologies…
L’atout majeur de ce secteur ? La multiplicité des métiers et des débouchés ! Les formations nombreuses permettent de se préparer à tous types de métiers, pour tous les niveaux. (D’ailleurs on vous donne rendez-vous sur notre site web pour en découvrir quelques-unes : https://www.afaformation.com/formations/ )
De nombreuses perspectives d’évolutions sont offertes par ce secteur dynamique en pleine mutation. Les outils évoluent en permanence et ils nécessitent des formations régulières et des mises à niveau de compétences. Pas de routine !
Préjugé 4# Il faut être jeune pour travailler dans ce secteur
Bien sur, comme les affirmations précédentes, ce cliché pourtant répandu est totalement faux ! Certes, certains métiers plutôt physiques peuvent séduire des profils d’actifs jeunes et moins expérimentés. Mais ne vous y trompez pas, les entreprises du transport et de la logistique recrutent à tous les âges et toutes les conditions !
Les profils seniors sont particulièrement appréciés, pour l’encadrement et le pilotage des activités ! Ils sont une ressources précieuse et expérimentée, capable de faire face aux imprévus, de manager des collaborateurs mais également de transmettre.
La preuve en chiffres : les plus de 50 ans représentent 39 % des effectifs du transport et de la logistique, et l’âge moyen des salariés est de 44,5 ans*.
* Source OPCO Mobilités, données chiffrées décembre 2022.